Simplifions par A(x)
Ici on a oublié de préciser que la
simplification n'est possible que
si A est différent de 0.
La primitive
de f est F
f
possède à une constante près une infinité de primitives;
donc à la place de l'article " La " on devait écrire "
Une ".
f étant continue en tout point x appartenant à l'intervalle [a,b], elle est continue sur cet intervalle.
f étant continue au point a, elle est dérivable en ce point.
L'erreur est de se lancer immédiatement
dans le calcul de l'expression de la dérivée, sans ce soucier de
l'expression sous valeur absolue (ici, x).
Si
x est largement positive, f(x) est égale à x et si x est strictement
négative, f(x) est égale à -x.
f(x) = x2
t variable indépendante
f ' (par rapport
à x) est 3x2
x ' (par rapport à t) est 4t
u '(t)
= 3x2 . [4t] = 3[2t2]2 . (4t) = 12t4
. 4t =
48t5
La limite de f(x) lorsque x tend vers a par valeurs inférieures étant égale à la limite de f(x) lorsque x tend vers a par valeurs supérieures, f est donc continue au point a.
Les limites de f(x) lorsque x tend vers a par valeurs inférieures et lorsque x tend vers a par valeurs supérieures sont toutes deux égales à f(a); f est donc continue au point a.
Exemple :
On te donne la fonction numérique définie par :
f(x) = x, si x est différent de 3
f(3) = - 2
Démontre que f n'est pas continue au point 3.
(x - 3) (x + 1) = 0 logiquement équivalente à x - 3 = 0 et x + 1 = 0 logiquement équivalente à x = 3 et x = - 1
x ne peut être simultanément égal à 3 et - 1; donc la conjonction " et " devra être remplacée par la disjonction inclusive " ou ".
D'une manière générale on écrit :
Arc sin (- 1, 1002)
Des résultats d'un calcul
numérique tels que Arc sin (a) ou Arc cos (a), avec a strictement
inférieure à - 1 ou strictement supérieure à + 1 sont tous faux.
En effet, Arc sin (a) veut dire " Arc dont le sinus est
a ". Mais comme le sinus est toujours largement compris entre -
1 et +1, la valeur de a
ne peut être ni strictement supérieure à + 1 , ni strictement inférieure à - 1.
La fonction numérique
f(x) = ax
dite " fonction puissance " n'est définie que pour
a réel strictement positif.
En effet, ax
peut également s'écrire e[x
. Log(a)] et
ainsi le réel Log(a) n'est défini que pour a strictement positif.
f et g deux fonctions numériques
quelconques
f o g = g o f
f(x) = x2
g(x) = x + 1
On a :
g o f (x) = g [f(x)] = g [x2] =
x2 + 1
f o g (x) = f [g(x)] = f [x + 1]
= (x + 1)2
Or, les expressions x2
+ 1 et (x + 1)2 sont
différentes; donc g o f est
différente de f o g.
Une suite numérique est une succession de nombres réels.
Cette définition de la suite numérique manque de rigueur.est une suite numérique.
Ainsi, en gardant à l'esprit qu'une suite n'est rien
d'autre qu'une fonction de N dans R, on
comprend mieux les notions telles que suite
convergente ou divergente ( c'est-à-dire
son comportement lorsque n tend vers l'infini),
suite constante,
suite croissante ou décroissante.
Dans notre exemple ci-dessus, la limite de Un lorsque n tend vers l'infini est
0; 0 étant un réel constant fini,
Un est donc une suite numérique convergente
: elle converge vers 0 lorsque n tend vers l'infini.
f ' (x0)
= 0, donc la courbe représentative (C) de f, fonction continue sur son
domaine de définition, admet un extrémum (minimum ou
maximum) en x0.
Le fait que
la dérivée s'annule en un point
x0
appartenant au domaine de définition d'une fonction numérique dérivable
n'est pas suffisante
pour que sa courbe
représentative (C) ait un extrémum au point
x0.
Il faut adjoindre à cette condition celle portant sur le signe
de cette dérivée : f ' devra
s'annuler en changeant de signe.
Ainsi, pour démontrer que (C) admet
un extrémum au point
x0,
il suffit de démontrer que la dérivée
s'annule au point
x0
en changeant de signe.
D'où la
nécessité d'étudier le signe de l'expression de la dérivée dans un voisinage de
x0.
f fonction numérique deux fois
dérivable sur son domaine de définition.
f '' (x0)
= 0; donc la courbe représentative (C) de f admet un point d'inflexion en
x0.
Le fait que la dérivée seconde s'annule en un point
x0
appartenant au domaine de définition d'une fonction numérique deux fois
dérivable
n'est pas suffisante
pour que sa courbe représentative (C) ait un point d'inflexion en
x0.
Il faut adjoindre à cette condition
celle portant sur le signe de cette dérivée seconde :
f '' devra s'annuler en changeant de signe.
Ainsi, pour démontrer que (C) admet
un point d'inflexion en
x0,
il suffit de démontrer que la dérivée seconde s'annule
au point x0
en changeant de signe.
D'où la
nécessité d'étudier le signe de l'expression de la dérivée seconde dans un
voisinage de x0.